Découvrez les titres du numéro 26 d’Al-Hakika, un magazine périodique spécialisé dans la documentation des crimes de la milice des Forces de soutien rapide au #Soudan.

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La vérité

Le premier magasin électronique périodique spécialisée dans la documentation des crimes des milices de soutien rapide au Soudan – publiée en trois langues pour servir de référence aux organisations et mécanismes internationaux concernés par la protection des droits de l’homme dans le monde – numéro « 26 » – juin 2025
Le ministre de la Culture et de l’Information, porte-parole du gouvernement soudanais, Khaled al-Iaisar, a déclaré que l’attaque par des drones kamikazes menée par la milice terroriste constitue une agression complète orchestrée et soutenue par les Émirats Arabes Unis. Al-Iaisar a ajouté dans une déclaration que la ville de Port-Soudan a été victime d’une attaque sournoise, dimanche 4 mai 2025, perpétrée par la milice de soutien rapide criminelle, avec l’aide de ses soutiens. Lors de cette attaque, sept drones kamikazes ont été utilisés, servant de couverture à une attaque menée par un autre drone stratégique sur la base aérienne d’Othman Digna, causant des dommages matériels sans pertes en vies humaines.
Le porte-parole officiel du gouvernement a indiqué que les forces de défense aérienne avaient réussi à faire face à ces drones suicides et à les neutraliser tous avec succès, tandis qu’un drone stratégique avait frappé l’un des hangars à l’intérieur de la base aérienne. L’intervenant a souligné que cette agression confirme, sans l’ombre d’un doute, que cette guerre n’est pas simplement une rébellion de la milice de soutien rapide, mais une agression complète dirigée et soutenue par l’État des Émirats Arabes Unis. Le fait d’équiper cette milice de drones avancés, contrôlés depuis des salles de contrôle à Abou Dhabi, ne constitue pas seulement une menace pour la sécurité nationale soudanaise, mais représente également un danger imminent pour la sécurité régionale et internationale, nécessitant des actions urgentes et sérieuses pour faire face à de telles violations.
Alors que les États-Unis, l’Union européenne, l’IGAD et plusieurs pays amis et frères ont condamné ces attaques qui visaient les infrastructures vitales et d’autres cibles civiles à travers le pays, ces États ont affirmé que ces attaques menacent non seulement la sécurité des civils mais perturbent également la stabilité régionale. Par ailleurs, des rapports internationaux ont révélé que la milice des forces de soutien rapide a utilisé des armes chinoises avancées, y compris des bombes guidées et des obusiers, qui ont été transportés au Soudan via les Émirats arabes, en violation d’un embargo sur les armes imposé par l’ONU.
Alors que des députés du Comité des affaires étrangères américain ont condamné la poursuite par les Émirats arabes unis de soutenir la milice de soutien rapide, il existe des rapports et des enquêtes fiables à l’intérieur et à l’extérieur du gouvernement américain qui le confirment. Les fournitures en provenance des Émirats ont contribué à prolonger la guerre et à commettre des crimes contre des civils au Soudan. Dans ce contexte de violation flagrante des lois et des normes internationales, la communauté internationale reste silencieuse face à ces crimes commis par la milice soutien rapide avec le soutien direct des Émirats arabes unis.
La vérité en tant que la première plateforme soudanaise spécialisée dans la documentation des crimes de la Milice de soutien rapide documente dans son numéro « 26 », le ciblage par les Émirats arabes unis de l’infrastructure du Soudan et la déstabilisation de la sécurité et de la stabilité régionales, et met également en lumière les rapports internationaux qui ont révélé l’utilisation d’armes létales de la Milice de soutien rapide avec le soutien direct des Émirats arabes unis, et le bombardement systématique de la ville d’El-Fasher en violation de la résolution « 2736 » du Conseil de sécurité, alors que la vérité documente les massacres de la milice à Malha dans le Nord du Darfour, et révèle les statistiques récentes des cas de viol de femmes et d’enfants, et le ciblage systématique du personnel médical, tout en révélant la vérité document des témoignages horribles des survivants des crimes de la milice de soutien rapide dans le camp de déplacés de Zamzam et du déplacement de milliers de familles de la province du Kordofan, tout en mettant en lumière les efforts du gouvernement pour faciliter l’acheminement de l’aide à El-Fasher en coordination avec les Nations Unies et éliminer les obstacles aux convois dus à la milice de soutien rapide.
La vérité documente : Les Émirats Arabes Unis détruisent les infrastructures au Soudan en troublant la sécurité et la stabilité régionales et internationales :
Le gouvernement soudanais a déclaré que l’attaque par des drones kamikazes de la part de la milice terroriste est une agression complète orchestrée et soutenue par les Émirats Arabes Unis. Il a confirmé dans un communiqué que la ville de Port-Soudan a subi, le dimanche 4 mai 2025, une attaque lâche menée par la milice de soutien rapide criminelle, avec le soutien de ses souteneurs. Sept drones kamikazes ont été utilisés dans l’attaque, servant de couverture à une autre attaque exécutée par un autre drone stratégique sur la base aérienne d’Othman Digna et des dépôts de carburant, ce qui a entraîné d’importants dégâts matériels.
Il a ajouté que le fait de fournir cette milice avec des drones avancés contrôlés depuis des salles de contrôle à Abou Dhabi ne constitue pas seulement une menace pour la sécurité nationale soudanaise, mais représente également un danger immédiat pour la sécurité régionale et internationale, et nécessite une action urgente et sérieuse pour faire face à de telles violations. Par ailleurs, la compagnie d’électricité du Soudan a révélé que la station de transformation de Port-Soudan avait été ciblée par des drones, ce qui a provoqué une coupure totale de l’électricité. Il a déclaré dans un communiqué de presse que cela s’inscrivait dans le cadre d’une attaque systématique contre les stations électriques, se répétant de manière récurrente, ce qui a un impact négatif sur les services aux citoyens en matière d’eau, de santé, etc. Le 9 mai 2025, un drone de la milice de soutien rapide, soutenue par les Émirats, a ciblé les dépôts de la société Sidon au centre d’Attbara, la plus grande ville de la province du Nil, pour la troisième fois, ce qui a entraîné un incendie dans les dépôts.
Alors que le réseau des médecins du Soudan a annoncé que 17 personnes ont été blessées, dont 9 cas d’asphyxie, suite à l’inhalation des gaz émis par les incendies qui se sont déclenchés sur le site du bombardement dans la ville de Port-Soudan, le réseau a confirmé que le bombardement visait des installations civiles vitales, mettant en danger plus d’un million de civils vivant dans la ville, qui était jusque récemment considérée comme une zone relativement semi-sûre par rapport aux autres zones de conflit du pays. Le réseau a appelé les organisations humanitaires et les instances des Nations Unies à documenter cette attaque et à enquêter sur la cible des infrastructures civiles.
La milice rebelle a également visé l’hôtel Marina (Coral) dans la ville, qui accueille plusieurs missions médicales et diplomatiques, et la station de conversion Al-Murkhiyat ainsi que la station de distribution de l’académie militaire et la station Al-Mahdiyah à Omdourman ont été attaquées, entraînant une coupure de courant dans la province de Khartoum, ce qui a aggravé les souffrances des citoyens et l’interruption des services essentiels. Une nouvelle enquête d’Amnesty International a révélé l’utilisation d’armes chinoises avancées, y compris des bombes guidées et des canons Howzer, qui ont été transférées au Soudan par les Émirats pour soutenir la milice de soutien rapide en violation claire de l’embargo sur les armes imposé par les Nations Unies.
Amnesty International a déclaré, à la suite de son enquête, que des armes chinoises avancées réexportées par les Émirats Arabes Unis ont été retrouvées à Khartoum et ont également été utilisées au Darfour, en violation flagrante de l’embargo sur les armes imposé par les Nations Unies. En analysant des images et des vidéos documentant les effets des attaques menées par la milice de soutien rapide, Amnesty International a identifié l’utilisation de bombes guidées de type GB50A et d’obusiers de 155 mm de modèle AH-4. C’est la première fois que l’utilisation de bombes GB50A est documentée dans un conflit dans le monde. Ces armes sont fabriquées par le Groupe Norinco, également connu sous le nom de la Compagnie des industries nord-chinoises, une entreprise de défense appartenant à l’État, Les preuves indiquent fortement que ces armes ont été réexportées vers le Soudan par les Émirats. Une commission d’experts des Nations Unies a révélé à Reuters comment des obus de mortier bulgares sont arrivés à la milice de soutien rapide au Soudan, tandis que le ministère bulgare des Affaires étrangères a confirmé à Reuters qu’aucune demande n’avait été faite pour obtenir son autorisation de réexporter des munitions à un tiers.
Lors d’une audience au Congrès américain, le 20 mai 2025, il y a eu un affrontement direct entre la députée démocrate Sarah Jacobs et le ministre d’État Marco Rubio, concernant les conflits d’intérêt dans la gestion de l’administration Trump avec le pays des Émirats, dans le contexte de la guerre en cours au Soudan. Jacobs a commencé son intervention en mettant en lumière les crimes commis par la milice FSR au Soudan, affirmant que cette milice commet un génocide, une désignation que le ministre lui-même avait déjà proclamée. Elle a souligné que les Émirats soutiennent cette milice de manière ouverte et qu’il est inacceptable que l’administration américaine continue de fournir des armes aux Émirats dans ce contexte. Elle est ensuite passée à des critiques directes contre le président Trump, en soulignant qu’il profite personnellement de liens financiers massifs avec les Émirats, alors que des décisions politiques sont prises en leur faveur.
Jacobs a expliqué que le président Trump avait contourné une objection officielle du député démocrate Gregory Meeks, qui avait tenté d’arrêter une vente d’armes dépassant un milliard de dollars destinée aux Émirats. Cette « objection » ou « hold » est un outil de surveillance dont dispose le Congrès pour empêcher l’approbation des transactions stratégiques jusqu’à leur examen, mais l’administration Trump l’a ignoré et a finalisé la transaction sans prêter attention à la commission des affaires étrangères. Jacobs a indiqué que ce contournement n’était pas isolé des intérêts personnels de Trump, étant donné qu’il coïncidait avec deux annonces controversées :
Le 30 avril, la Trump Organizations a annoncé un projet de tour Trump de 80 étages à Dubaï,
Le 1er mai, la société de crypto-monnaie de Trump, World Liberty Financial, a conclu un accord d’une valeur de deux milliards de dollars avec une entreprise émiratie ayant des liens étroits avec le gouvernement.
Selon le site officiel de la société, Trump et sa famille possèdent 60 % de ses actions, ce qui lie directement le président à l’accord. Et seulement 11 jours plus tard, le 12 mai, le Département d’État a informé la Commission des affaires étrangères qu’il ignorerait l’objection de Mix et poursuivrait l’accord d’armement. Ici, Jacob a accusé le président Trump de gagner des milliards de dollars grâce à des relations particulières avec un gouvernement étranger, tout en lui vendant des armes utilisées pour soutenir une milice qui commet des crimes d’extermination contre des civils soudanais. Et lorsque le ministre Marco Rubio a tenté de défendre la position, il a déclaré que traiter avec les Émirats était inévitable pour tout président américain, soulignant qu’ils étaient partenaires dans les Accords d’Abraham et coopérants sur de nombreuses questions. Il a également déclaré que les États-Unis ne s’accordaient pas à 100 % avec les Émirats, mais qu’ils avaient besoin d’un équilibre dans leur politique étrangère et Rubio a rejeté l’idée qu’il y ait un conflit d’intérêts, affirmant que le président et sa famille avaient le droit de posséder des entreprises commerciales et que Trump n’avait pas discuté de ces transactions dans ses entretiens officiels.
Mais Jacobs lui a répondu avec fermeté, l’accusant de sembler plus soucieux de rester dans le cercle de satisfaction de Trump que de défendre les droits de l’homme et les valeurs américaines qu’il a précédemment déclaré soutenir. Récemment, les médias et les plateformes soudanaises ont documenté des armes américaines létales saisies par les forces armées soudanaises lors de la libération de la région de Salih dans le sud d’Omdurman. Dans une tentative de laver ses crimes, les Émirats ont utilisé leurs médias pour améliorer leur image ternie, ce qui a été clairement manifeste dans plusieurs activités déformées sous le couvert humanitaire. Un rapport de la chaîne Al-Hadath intitulé « Raisons de l’effondrement de la milice de soutien rapide » a confirmé que des livraisons d’équipements à la milice de soutien rapide provenaient des États tchadiens et libyens, ce qui démontre que les Émirats tentent d’éloigner les accusations à leur encontre. Pendant ce temps, les États-Unis ont annoncé des sanctions contre le Soudan dans une nouvelle tentative de chantage politique et de freiner l’avancée des forces armées qui ont participé à la libération de toutes les provinces du Darfour.
La vérité documente :El Fasher sous les feux de la milice de soutien rapide et le Conseil de sécurité renouvelle son engagement envers la résolution « 2736 »
Le Conseil de sécurité des Nations unies a condamné les attaques de la milice de soutien rapide contre El-Fasher et a publié lors de sa dernière session début mai 2025, une déclaration dans laquelle il a exprimé une forte condamnation de la milice de soutien rapide rebelle au Soudan. La déclaration a clairement et fortement condamné les attaques répétées menées par la milice de soutien rapide sur El Fasher et les camps de déplacés de Zamzam et Abu Shouk de manière continue, et les membres ont exprimé leur inquiétude face aux récentes informations rapportant que les attaques de la milice de soutien rapide avaient entraîné la mort d’au moins « 400 » personnes, dont des enfants et au moins « 11 » travailleurs humanitaires. Les membres du Conseil de sécurité ont appelé à tenir la milice de soutien rapide responsable de ces attaques. Ils ont également fait référence à la résolution du Conseil numéro 2736 adoptée en 2024, réaffirmant leur demande de mettre fin au siège d’El-Fasher et appelant à un cessez-le-feu immédiat et à une désescalade des tensions à El-Fasher et dans ses environs.
Les 15 membres du conseil ont renouvelé leur appel à tenir responsables les milices de soutien rapide et les auteurs des attaques contre des civils et des violations des droits de l’homme au Soudan. Ils ont également appelé toutes les parties au conflit à protéger et à respecter les travailleurs humanitaires et leurs installations, ainsi que leurs ressources, conformément à leurs obligations selon le droit international. Ils ont enjoint les parties à permettre un accès humanitaire sûr et sans entraves et ont exhorté les membres du Conseil de sécurité des Nations unies à demander à tous les États membres de s’abstenir d’intervenir extérieurement dans le but d’aggraver le conflit et l’instabilité, et à plutôt soutenir les efforts pour parvenir à une paix durable. Des militants ont accusé la milice de soutien rapide d’avoir lancé une attaque contre la ville de « Brouch », dans la localité d’Am Kadada, dans la province du nord du Darfour, causant des morts et des blessés, y compris des femmes et des enfants, alors que la milice de soutien rapide a pris le contrôle de la ville d’Am Kadada, située à l’est de El-Fasher, capitale de la province du nord du Darfour, depuis le 10 avril.
La salle d’urgence locale d’Um Kaddada a déclaré dans un communiqué que la milice de soutien rapide avait lancé une attaque brutale contre le village de Brosh, faisant des martyrs et blessant des civils non armés, y compris des femmes et des enfants. La salle a fermement condamné ces massacres odieux, les considérant comme des crimes de guerre à part entière et une violation flagrante du droit international humanitaire. Il est à craindre que la milice de soutien rapide ne commette des violations contre la population, similaires aux crimes qu’elle a commis contre les habitants d’Um Kadada, notamment des pillages, des déplacements forcés, des incendies de maisons et le meurtre de médecins. La Chambre a souligné qu’il était absolument inacceptable de prendre pour cible et de terroriser des civils non armés, appelant à y mettre fin immédiatement, tandis que le Réseau des médecins soudanais a déclaré que la milice de soutien rapide avait tué « 9 » personnes, dont le géologue Dr. Imam Abdul Majeed, à la suite de tirs délibérés de missiles sur une mosquée dans le centre d’El-Fasher.
Le réseau des médecins du Soudan a exprimé sa tristesse face à la transformation de la ville de El-Fasher, surpeuplée de civils et de déplacés, en une grande prison et un lieu de tueries de masse en raison des bombardements aléatoires qui continuent de récolter quotidiennement des vies de citoyens parmi les femmes, les personnes âgées et les enfants. Il n’y a aucun endroit sûr où les civils peuvent se réfugier, tous les sites, maisons, hôpitaux, mosquées et écoles sont devenus des cibles pour les milices. Le 15 mai 2025, des militants ont rapporté la mort de 14 civils et d’autres blessés lors d’une frappe menée par la milice des Forces de soutien rapide sur un marché dans le camp d’Abou Chouk, au nord de El-Fasher, dans la province Nord du Darfour à l’ouest du Soudan. La salle des urgences du camp d’Abou Chouk a confirmé dans un communiqué que « 14 personnes ont été martyres et d’autres blessées à la suite d’un bombardement d’artillerie par les Forces de soutien rapide ciblant le marché de Nivasha dans le camp d’Abou Chouk. » Elle a précisé que le bombardement a visé le marché en tant que rassemblement, ainsi que d’autres sites à l’intérieur du camp tels que les mosquées et les maisons proches des installations publiques.
La vérité documente l’enterrement de 203 civils tués par la milice de soutien rapide à « Malha » dans le nord du Darfour
En mai 2025, un observatoire des droits a déclaré avoir documenté l’enterrement d’environ « 203 » personnes tuées par la milice de soutien rapide dans la ville de Malha, dans la province du nord du Darfour. La milice de soutien rapide a pris le contrôle de la ville le 20 mars dernier, une zone stratégique considérée comme un carrefour entre Al-Daba au nord, Hamrat al-Sheikh à l’est et Al-Fasher au sud, avant de commettre des violations horribles à l’encontre des habitants. Le Centre de droits de l’homme de Malha a déclaré dans un communiqué que « plus d’un mois après l’attaque de la milice de soutien rapide contre Malha, 203 personnes tuées par la milice de soutien rapide ont été enterrées dans des endroits épars de la ville. » Le rapport indique que la milice a tué un grand nombre de citoyens à l’intérieur de leurs maisons ou en sortant de la ville, y compris des femmes, des enfants et des personnes âgées.
Il a été révélé qu’il y a un nombre de personnes disparues dont les lieux n’ont pas encore été identifiés, accusant la milice de soutien rapide de mener une pauvreté systématique à travers des vols qui ont touché les marchés et les maisons, en plus de la destruction systématique comme les incendies qui ont touché les marchés et les maisons. Le communiqué a évoqué le déplacement de plus de 98 % des citoyens de la ville, soit environ « 110 » milliers de familles, vers les villages et d’autres régions, vivant dans des conditions humanitaires extrêmement mauvaises à cause de la rareté de la nourriture, de l’eau et des abris, et d’un manque quasi-total d’aide humanitaire, en plus de l’arrêt du commerce, ce qui prévient une catastrophe si la situation perdure ainsi. Il a également confirmé une grande crise de l’eau potable dans la ville à cause de l’absence de carburant dans les stations d’eau, dont certaines sont à l’arrêt à cause de pannes, appelant les organisations et les entités humanitaires et caritatives à travailler à la fourniture de l’aide humanitaire nécessaire, en particulier la nourriture, l’eau, les médicaments et les fournitures pour les abris et l’hygiène.
La vérité documente :
Des experts de l’ONU documentent « 330 » cas de violence sexuelle au Soudan dans cette année
En 15 mai 2025 – Des experts indépendants en droits de l’homme de l’ONU ont révélé, dans une déclaration, qu’en 2025, au moins « 330 » cas de violence liés au conflit ont été documentés, et l’on pense que le nombre réel est beaucoup plus élevé en raison du manque de signalement.
Ils ont indiqué que les victimes de violence sexuelle, y compris les enfants, sont confrontés d’énormes obstacles pour accéder aux soins médicaux ou psychologique la déclaration a évoqué des rapports faisant état d’une augmentation des cas de disparitions forcées de femmes et de filles aux zones contrôlées par la milice de soutien rapide, où beaucoup ont été enlevées pour d’esclavage et d’exploitation sexuelle.« Les filles sont enlevées des sites de déplacés, des abris et des marchés dans un contexte d’effondrement des régimes de protection, la détérioration des situations aux zones contrôlées par la milice de FSR ce qui a exposé les femmes et les filles à une violence sexuelle augmentée. Les experts de l’ONU ont condamné les violations généralisées contre les femmes et les filles au Soudan, notamment les violences sexuelles, les enlèvements et les meurtres.Ils ont signalé que les femmes et filles sont exposées aux risques accrus de viol collectif, d’esclavage sexuel, de traite des êtres humains et de mariage forcé, en particulier aux provinces de Jazeera, Sennar, au Darfour et au Sud de Kordofan.
les experts ont déclaré qu’il ya des femmes se sont suicidées dans des villages tels qu’al-Sariha, Azraq et Raffa, à la province d’Al- Jazeera, après avoir été victimes d’attaques douloureuses, ,tandis que les victimes envisagent de plus en plus le suicide comme un moyen d’échapper aux horreurs du conflit en cours.au début de cette année La force armée a repris le contrôle de la province d’Al-Jazeera , après en avoir été sous le contrôle de la milice de Soutien rapide pendant plus d’un an, au cour duquel elle a commis d’horribles exactions, notamment des massacres, des violences sexuelles, des pillages et des déplacements forcés.Les experts ont expliqué que l’effondrement des systèmes de santé et les attaques contre les camps de déplacés en El Fasher et aux zones assiégées ont conduit les femmes à accoucher aux conditions non sécurisées et non sanitaires, tandis que le taux de mortalité maternelle a fortement augmenté.
La milice de soutien rapide empêche l’acheminement des fournitures vitales vers El Fasher, au nord du Darfour, où elle assiège la ville depuis plus d’un an, avec des bombardements par artillerie et de drones presque quotidiens et des attaques terrestres de temps en temps. Les experts de l’ONU ont exprimé leur préoccupation concernant les attaques contre les défenseuses des droits de l’homme et les travailleuses de première ligne, qui ont été confrontées au viol, au meurtre et au harcèlement en raison de leur aide aux victimes ou de leur documentation des violations. La déclaration a souligné que ces violations causent des dommages considérables aux individus et aux communautés, car elles démantèlent les protections restantes et sapent les chances de rétablissement et de justice.Il a ajouté : « L’ampleur terrible de la violence que subissent encore les femmes et les filles est une preuve troublante de l’érosion de la protection des femmes et des filles en temps de conflit et de la normalisation de cette violence. La communauté internationale doit intervenir d’urgence pour mettre fin à cette marée. »La société soudanaise garde le silence sur les crimes de viol en raison de leur lien étroit avec l’honneur, et certaines victimes choisissent de fuir leur famille ou de se suicider pour éviter la stigmatisation.
La vérité documente :
Le déplacement de (7) mille familles de l’ouest du Kordofan après le ciblage de la milice de soutien rapide
En 12 mai 2025, l’Organisation internationale pour les migrations des Nations Unies a signalé que plus de « 7 » mille familles avaient fui les villes de Nuhud et de Khuwi à la province de l’ouest de Kordofan. Après l’assaut de la milice de soutien rapide sur la ville de Nuhud, qui se trouve à un carrefour reliant le Kordofan et le Darfour, avant que les forces armées ne reprennent le contrôle de la ville de Khuwi une semaine après que la milice en ait pris le contrôle, puis continuent leur avancée vers des villages à proximité de la ville du Nuhud. L’Organisation internationale pour les migrations a indiqué que 7.204 des familles ont été déplacées au 1er et 2 mai 2025 en raison de situation de l’insécurité élevée aux villes de Nahud et Khawi. Elle a souligné que les combats à Nahud ont forcé 5.451 des familles à fuir, la plupart d’entre elles se réfugiant aux villages de la localité, tandis que d’autres se sont échappées vers les zones de Gabish, Wadi Banda et Salam à l’Ouest du Kordofan, ainsi qu’à l’Ouest de Bara au Nord du Kordofan.
Il a indiqué que les combats qui ont éclaté à Khawi, poussant 1.678 des familles à fuir vers des villages d’al-Khawi et vers l’Ouest de Bara. Il a rapporté que l’attaque contre le village de Sardaaba à la localité d’al-Khawi en 2 mai 2025 a conduit au déplacement de 75 des familles. La brigade de chasseurs, affiliée aux forces armées soudanaises, avance pour reprendre des zones de la province de l’Ouest du Kordofan sous le contrôle de la milice des Forces de soutien rapide, en préparation de mobiliser vers la province d’Est du Darfour ou à destination d’El Fasher à la province de Nord du Darfour pour lever le siège qui y est imposé.Le Réseau des médecins soudanais a ajouté que la milice de soutien rapide a commis un grand massacre à la ville d’Al-Nuhud, où elle a assassiné plus de « 100 » personnes, dont « 21 » enfants et « 15 » femmes, tout en pillant des fournitures médicales, des marchés et l’hôpital d’Al-Nuhud.En 15 mai 2025, au moins 4 personnes ont été tuées et blessant plus de 60 autres à cause des Drones mené par la milice de soutien rapide sur un établissement médical à la ville d’El-Obeid, capitale de la province de Nord du Kordofan, à l’ouest du Soudan.
Des témoins oculaires et des médecins ont déclaré à Sudan Tribune qu’un drone stratégique appartenant à la milice de soutien rapide a lancé un missile sur l’hôpital d’arme médicales de l’armée, tuant 4 patients selon statistiques initiales un et en blessant grièvement plus de 60.Selon les sources, certains des blessés ont été transférés à l’hôpital de la sécurité sociale et à l’hôpital universitaire d’al-obeide.
La vérité documente :
Les cas de viol augmentent à 31 et des disparitions forcées à 52 au camp de déplacés de Zamzam
En 15 mai 2025, le porte-parole du camp de déplacés de Zamzam au Nord du Darfour, a indiqué que les cas de meurtres , de viols et de disparitions forcées enregistrés sur la plateforme électronique sont augmentés. L’administration du camp de Zamzam, qui situé à 12 kilomètres au sud d’El Fasher, a lancé une plateforme électronique pour surveiller les violations commises contre les personnes déplacées au camp de déplacés par des membres de la milice de soutien rapide.Le porte-parole de la direction du camp de Zamzam, Mohammed Khamis Doda, a déclaré à « Sudan Tribune » que « la dernière mise à jour de la plateforme électronique a atteint 31 cas de viol et de disparition forcée 52 personnes, tandis que le nombre de morts a atteint 173 morts pendant une semaine ».Il a indiqué que la plateforme face à un ensemble de défis, dont une faible participation à l’inscription en raison de l’absence de la plupart des déplacés sur Internet, notamment à El Fasher et à Tawila.
Il a précisé que la perte de nombreux habitants de Zamzam de leurs téléphones pendant l’attaque contre le camp ou lors de leur déplacement, ainsi que le fait que beaucoup ont dû vendre leurs téléphones pour obtenir de l’argent pour payer les moyens de transport vers des zones sûres, a eu un impact sur la faible réactivité à la documentation des violations auxquelles ils ont été soumis. La milice de soutien rapide a lancé une attaque violente contre Zamzam le 11 avril dernier, après des mois de bombardements d’artillerie, la contrôlant après trois jours de combats qui ont coûté la vie à 400 civils, dont des travailleurs humanitaires, et provoquant la fuite de 406 000 personnes, tandis que 180 000 personnes sont toujours piégées dans le camp, selon les rapports des Nations Unies.
La vérité documente :
Découvrir des fosses communes contenant les corps de 465 victimes de la milice de soutien rapide à Salha:
en 22 mai 2025, les forces armées soudanaises ont indiqué d’avoir découvert des fosses communes contenant les corps de « 465 » victimes de la milice de soutien rapide dans le sud d’Omdurman, à la province de Khartoum, qui sont mortes de faim, de torture et de manque de traitement.Il s’agit de la deuxième plus grande fosse commune découverte par l’armée, puisqu’un cimetière contenant au moins 550 corps a été découvert au nord de Khartoum-Nord, près du quartier général de la milice de soutien rapide, pour emprisonner et torturer des personnes.Le quartier de Salha, à la localité d’Omdurman, est sous le contrôle des FSR depuis le début du conflit militaire en 15 avril 2023.
La vérité documente :
Le gouvernement soudanais a accepté d’ériger de nouvelles bases logistiques pour faciliter la livraison d’aide à El Fasher.
Le président du Conseil souverain de la transition, le général de corps d’armée Abdel Fattah al-Burhan, a reçu un appel téléphonique de Tom Fletcher, assistant du secrétaire général des Nations Unies, en discutant des questions humanitaires et les opérations de livraison de l’aide humanitaire à la ville d’El Fasher, L’appel a également évoqué la possibilité de livrer l’aide à El Fasher tout en évitant les obstacles posés par la milice rebelle et terroriste des Forces de soutien rapide, et il a été affirmé que l’aide devait être rapidement acheminée par les routes permettant le passage des convois humanitaires vers la ville d’El Fasher. Les Nations Unies avaient demandé l’établissement de bases d’approvisionnement logistique autour d’El Fasher pour faciliter le travail humanitaire, notamment aux zones de Melit et Tawila, et le gouvernement soudanais a accepté cela Le président du Conseil de souveraineté de transition, le général Abdel Fattah al-Burhan, a rencontré le représentant personnel du secrétaire général des Nations Unies, Ramtane Lamamra, en présence de l’ambassadeur Idriss Ismail, suppléant du ministre des Affaires étrangères, Le suppléant du ministre des Affaires étrangères a déclaré dans une déclaration à la presse que Ramtane Lamamra avait transmis au président du Conseil de souveraineté un message du secrétaire général des Nations Unies, António Guterres, concernant le rôle des Nations Unies au Soudan tant en temps de paix qu’en temps de guerre.
L’ambassadeur Idriss a souligné que le président du Conseil de souveraineté avait renouvelé la confiance du Soudan dans le rôle important joué par les Nations Unies concernant les questions soudanaises, affirmant qu’il s’engagerait à soutenir ce rôle pour atteindre la paix et la sécurité. Il a souligné que la rencontre a abordé la situation humanitaire dans son ensemble, en indiquant que le président du conseil souverain a confirmé que le Soudan ne ménagera aucun effort pour aider les Nations Unies à atteindre les personnes dans le besoin. Pour sa part, Lamamra a déclaré qu’il avait remis au président du conseil souverain un message du secrétaire général des Nations Unies, António Guterres, précisant qu’il avait reçu des réponses claires du président du conseil souverain concernant la plupart des points et des questions sur lesquels le groupe international souhaite prendre connaissance de leurs perspectives futures. L’émissaire du secrétaire général a exprimé son espoir que la paix, la sécurité et la stabilité soient réalisés au Soudan, et que les ressources soient mobilisées pour la reconstruction, le développement et la fourniture de conditions de vie décentes et de services essentiels aux citoyens.Ramthan a confirmé l’engagement des Nations Unies envers le peuple soudanais et l’État soudanais, en déclarant : « Les Nations Unies continueront à travailler pour accomplir ses devoirs dans les domaines de l’aide humanitaire et des efforts pour une solution pacifique souhaitée dans le cadre des décisions du groupe international, de la Charte des Nations Unies et de tous les instruments pertinents. Il a ajouté qu’au cours de ses visites au Soudan, il a recueilli des réponses et des informations riches qui seront transmises au Secrétaire général des Nations Unies et au Conseil de sécurité international, réaffirmant l’engagement des Nations Unies à soutenir le Soudan au service de la paix et d’un meilleur avenir pour l’État soudanais.
Au jeudi 15 mai 2025, les Nations Unies ont accueilli la décision du gouvernement soudanais de prolonger l’ouverture du poste frontière d’Adri avec le Tchad.Le gouvernement a approuvé l’ouverture du corridor d’Adri, situé à la province d’ouest de Darfour, à partir du 15 août 2024 pour une durée de trois mois, et a continué à renouveler son ouverture depuis lors. La représentante résidente des Nations Unies, Clementine Nkweta Salami, a salué, dans un tweet sur la plateforme « X », la décision de maintenir le corridor d’Adri ouvert pour trois mois supplémentaires, Elle a souligné que le corridor représente une bouée de sauvetage pour des millions de personnes, étant la voie la plus efficace pour acheminer l’aide vitale aux individus au Darfour.Le Bureau de la coordination des affaires humanitaires (OCHA) a indiqué, dans un communiqué, que 1 600 camions transportant 54 300 tonnes métriques d’aide humanitaire vitale sont entrés au Soudan par le corridor d’Adri depuis août 2024 jusqu’à ce mois de mai.Il a été précisé que 77 % de ces camions étaient chargés de produits alimentaires d’urgence et de soutien aux moyens de subsistance, tandis que le reste concernait des produits de santé essentiels, de l’eau, de l’assainissement, de l’hygiène, des abris, de l’éducation et de la nutrition. Le bureau a indiqué que ces fournitures étaient suffisantes pour répondre aux besoins urgents de 2,3 millions de personnes parmi les plus vulnérables au Darfour et au Kordofan
Il a mentionné que cette aide a été fournie à 742 000 personnes au centre du Darfour, à 557 800 personnes à l’ouest de Darfour, à 424 000 personnes à l’est de Darfour, à 382 400 personnes au Nord de Darfour, à 102 000 personnes au centre de Darfour, en plus de 73 900 personnes à l’ouest de Kordofan Il a confirmé que la route vers le passage de Tine présente des risques graves pour les civils qui essaient de fuir vers le Tchad, où de nombreux nouveaux arrivants ont rapporté d’avoir été victimes d’extorsion et de violence tout au long du chemin. Le gouvernement soudanais affirme que les milices de soutien rapide exploitent le passage d’Adri pour transporter du matériel militaire et des armes qu’elles reçoivent des Émirats via les aéroports du Tchad.
La vérité documente : Lors des travaux du 34ème sommet arabe ordinaire à la capitale irakienne ‘Bagdad
le Soudan rejette toutes les formes de déplacement des Palestiniens et réaffirme l’engagement du gouvernement soudanais à mettre en œuvre la feuille de route présentée aux Nations unies et aux intermédiaires, qui comprend un cessez-le-feu, le retrait des milices de toutes les zones et villes, la levée le siège sur El Fasher, le retour des déplacés et des réfugiés, et la facilitation de l’accès à l’aide humanitaire.Le membre du Conseil de souveraineté transitionnel, le général Ibrahim Jaber Ibrahim a affirmé la position ferme du Soudan sur la question palestinienne, en soutenant la création d’un État palestinien dont la capitale serait Jérusalem-Est, et en rejetant toutes les formes de déplacement forcé et de violation du droit international subies par le peuple palestinien frère.Il a souligné lors de son discours au sommet arabe ordinaire (34) à Bagdad, la nécessité de respecter les principes de la coopération arabe et de renforcer les positions, en réponse aux aspirations des peuples.
Le membre du Conseil a également confirmé l’engagement du gouvernement soudanais à mettre en œuvre la feuille de route présentée aux Nations Unies et aux médiateurs, qui inclut un cessez-le-feu, le retrait des milices de toutes les zones et villes, la levée du siège de El Fasher, le retour des déplacés et des réfugiés, la facilitation de l’acheminement de l’aide humanitaire, la reprise du processus politique de transition et la gestion d’un dialogue inclusif soudano-soudanais qui préparera le terrain pour les élections.Un membre du conseil souverain a souligné l’importance de contribuer activement au soutien des solutions nationales soudanaises qui mèneront à la production d’une paix durable ayant des répercussions sur toute la région, appelant à contribuer à la reconstruction du Soudan et à la réhabilitation des infrastructures. La conférence arabe tenue le 17 mai 2025 a, dans sa déclaration, affirmé sa solidarité avec la République du Soudan et son peuple dans leur quête pour sécuriser ses ressources, préserver son indépendance et sa souveraineté, maintenir l’unité de son territoire, protéger ses infrastructures vitales, et renforcer ses efforts pour préserver ses institutions nationales, tout en évitant leur effondrement par la formation d’un gouvernement civil indépendant et élu.
Elle a également appelé les États membres et les organisations arabes concernées à fournir une aide humanitaire urgente au Soudan et à son peuple frère, ainsi qu’à intensifier la réponse au niveau régional et international, à réhabiliter les installations touchées et à surmonter les conséquences catastrophiques que vit le Soudan, ce qui renforcera la résilience du Soudan face à toute menace à son unité et a examiné la possibilité de reprendre le processus de Djeddah pour parvenir à une solution pacifique durable, ainsi que l’appel au groupe de contact arabe commun des ministres des affaires étrangères de la République arabe d’Égypte et du Royaume d’Arabie Saoudite, et au Secrétaire général de la Ligue des États arabes, à poursuivre leurs efforts et leurs bons offices pour parvenir aux solutions qui répondent aux aspirations soudanaises en matière de stabilité et de développement.
La vérité documente :
Khartoum libre
En 20 mai 2025, les forces armées soudanaises ont réussi à réaliser une sévère défaite à la milice de soutien rapide
Les forces armées soudanaises ont annoncé l’achèvement de la libération de la capitale soudanaise après avoir pris le contrôle des derniers bastions de la milice de soutien rapide à l’ouest et au sud d’Omdurman.le porte-parole de l’armée soudanaise, Nabil Abdullah d a déclaré ans un communiqué. « Nous annonçons aujourd’hui l’achèvement du nettoyage de l’ensemble de la province de Khartoum de toute présence de membres de la milice terroriste d’Al-Dagalo et le nettoyage de notre capitale nationale de la saleté des rebelles et de leurs partisans la province de Khartoum est complètement libéré des rebelles », a-t-il déclaré.Les forces armées et toutes les composantes impliquées dans le batail de dignité nationale continuent d’accomplir leur devoir sacré en combattant les prostituées et l’agression des criminels de la milice d’Al Dagalo et de leurs aides et partisans des forces du mal, locales, régionales et internationales, et remportent des victoires jour après jour avec détermination et volonté, grâce à ALLAH et à son succès, et pour soutenir et rallier notre peuple », a-t-il déclaré.
Depuis tôt, les forces armées soudanaises ont repris leurs opérations terrestres aux zones au sud d’Omdurman, où elles ont mené des combats intenses contre la milice de soutien rapide, ce qui leur a permis de contrôler le quartier de Salha, tandis qu’elles ont réussi à récupérer complètement la localité d’um Ramta ainsi que l’ensemble des villages de la campagne sud de la localité d’Omdurman, située à l’ouest du barrage de Jebel Awliya. En Fin mars dernier, des éléments de la milice rapide en retrait des localités de Khartoum et Jebel Awliya ont commis de larges violations touchant les civils aux villages de Jomouiya, faisant de nombreuses victimes parmi les citoyens et déplaçant des milliers d’autres.

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